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Viol d’une assistante dans un foyer de l’Arche à Pierrefonds

Visage derriere mainsEn janvier 2014, une jeune engagée Service Civique, assistante au foyer de la « Promesse » de la communauté de « l’Espérance » à Pierrefonds, dépose une plainte pour viol contre un autre assistant du même foyer.

Elle avait une relation amoureuse avec lui depuis 2 mois, relation cachée car il est stipulé à chaque nouvel arrivant, notamment dans le livret d’accueil de l’époque, que les assistants s’engageaient à ne pas avoir de relations sexuelles dans les locaux de l’Arche et devaient s’ouvrir à leur responsable si une relation amoureuse naissait entre eux.

Les assistants logent sur leur lieu de travail, dans leur chambre située dans le foyer avec les personnes handicapées. Cette clause leur interdit toute vie amoureuse et sexuelle, même au sein de leur espace privée. A noter une variante pour la communauté du Levain à Compiègne où les relations sexuelles sont autorisées entre assistants mariés.

L’assistant a reconnu les faits et son contrat d’engagé Service Civique à l’Arche a été rompu.

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Commentaires

  • Lucie
    • 1. Lucie Le 03/03/2019
    Bonjour,

    Je suis étonnée par votre post de blog. Vous avez l'air de mettre au même niveau la gravité d'un viol et des éléments de vie institutionnelle que vous jugez incohérents.

    Votre question en appel aux commentaires : "Peut-on interdire à des jeunes gens du Service Civique ou Volontaires d’avoir une vie amoureuse / sexuelle dans leur espace privé alors qu’ils ont l’obligation de loger sur leur lieu de travail ?" alors que le titre de l'article est "Viol d’une assistante dans un foyer de l’Arche à Pierrefonds" semble profondément incohérente.

    Le fil rouge, ici, semble être votre indignation contre l'Arche et non votre préoccupation du consentement et de la violence exercée contre une jeune fille en service civique. Une pensée confuse et dérangeante.
    • news-team
      • news-teamLe 03/03/2019
      Bonjour, Merci pour votre commentaire. Effectivement, le questionnement est en décalage par rapport à la gravité des faits et sa place dans ce billet n’est pas judicieuse. Nous le supprimons dans un premier temps et ce sujet sera abordé dans un futur billet traitant des contraintes sur les salariés et volontaires en service civique.

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